Ce titre, "Bonjour tristesse" du roman de Françoise Sagan véhicule de la nostalgie, un air d'amertume. Nous sommes depuis un an dans une histoire triste, elle est surtout triste pour nos jeunes, nos étudiants, nos jeunes amoureux qui ont l'envie de vivre, d'être heureux et d'avoir des enfants.

La jeunesse est marquée par les amours, les jeux de séduction, les sorties au resto, au ciné, en boîte.

Nos jeunes ont besoin de projets, de stages en entreprises, de stages à l'étranger.

Il faudra bien inventer des solutions. Une "dictature covid" n'est pas la solution. Le traçage, le pass sanitaire, c'est un très mauvais film de science-fiction. Le monde n'est pas une prison.

Il y a encore des raisons d'avoir peur. Il y a 92 variants au Brésil dans une très grave situation hors de contrôle. Les personnes touchées ont bien souvent moins de 40 ans.

Nous avons bien entendu des brésiliens qui viennent en France, les test PCR ne sont pas efficaces à 100%. Si le variant brésilien le plus surveillé s'installe en Europe, nous aurons une toute nouvelle épidémie. Cette hypothèse alarmante est plausible mais incertaine.

L'avenir est très mouvant car on ne se repose que sur la vaccination. Aucune autre solution que la vaccination n'est envisagée, la recherche de médicaments, de traitements ne doit pas être négligée. Les vaccins actuels ne pourront lutter contre les nouveaux variants de 2022. Des rappels seront nécessaires.

On se dit décidément, bonjour tristesse.